Bon bah voila, on est plus que deux ! Comme deux c.....! Il nous a lache hier soir avec son gros sac sur le dos, ses odeurs de linge sale et de pied. Ah on en menait pas haut hier soir.
Pour l'occasion, on a commencait a ecrire un ptit poeme pour lui, par ce qu'on est des gens biens, mais comme on est des gens pas trop trop bien quand meme on a pas pris le temps de le finir, mais c'est l'intention qui compte.
Alle, on se lance :
Pascal le vaut bien
A cette odeur si parfumee,
Emanant de ta plante,
Nous nous etions habitues,
C'est te dire si tu nous manques,
Pascal le vaut bien
Tout ce temps a t'attendre,
Parfois meme excedes,
Nous aura fait comprendre,
Qu'on va te regretter,
Pascal le vaut bien
Voila on s'est arrete la, apres on est alle manger chez l'indien. Pascal comprendra.
Tchao amigo, a la r'voyure.
6 commentaires:
Joli poeme, mais j'imagine que malgré tout, ça doit être tres dure !
C'est un autre voyage qui commence, different, mais surement aussi bien.
Gardez vous bien mes chers camarades,
Adèle
Ils ont essayé d'égarer Yann,voilà qu'ils ont réussi a renvoyer Pascal...
Le seul bien qu'ils leur restent au monde,est d'avoir quelquefois pleuré.(Musset)
Passez un bon séjour au pays des kangourous,bong bong bong bong!
C'est triste c une page qui ce tourne, bon retour au pays Pascalou et bonne continuation aux deux autres bizzzzous
Allez courage,faut apprendre a marcher à 2 maintenant et qui sait peut etre que vous allez rencontrer un gentil perdu qui vous fera pensser a ce bon pascalou...
Merci Amigos !!
Tout d'abord le chqngement de clavier c'est trop chiant.
J'ai entendu parler de vos talents de musicien et poete, vos premiers succes comme le blues du routard et je suis flaté (y a des accents sur ce clavier !!) qu'un autre de vos grand succes parle de moi. J'ai froid et j'ai choppe mal de gorge qvec fièvre, evidemment vous avez gardé la malaronne !
Tony, protege le petit Yann maintenant que je ne suis plus là. Yann ne t'inquiete pas pour les blagues du matin de Tony, les bruits de bouches, l'appareil casse, les chiottes bouches... ca vas passer !
Vas où tu veux meurs où tu dois...
Salut les garçons, gare à vos miches, vous n'êtes plus que deux pour surveiller sur les cotés et derrière en même temps.
Vous aurez tout le temps de pleurer une fois rentrés, profitez, profitez ...
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